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Question

rebonjour pouvez vous m aider svp il faut reecrire le texte en remplacant prit par prend merci
Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvraient et se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entendais rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne.

Une terreur insurmontable s’empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes dents s’entre-choquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps.

La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il fut éteint tout à fait…

Oh ! non, je n’ose pas dire ce qui arriva, personne ne me croirait, et l’on me prendrait pour un fou.

Les bougies s’allumèrent toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprimât le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnaient dans les tisons et que la pelle relevait les cendres.

Ensuite une cafetière se jeta en bas d’une table où elle était posée, et se dirigea, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se plaça entre les tisons.

2 Réponse

  • Bonjour,

    Réécrire le texte en remplaçant prit par prend :

    Tout à coup le feu prend un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumine la chambre, et je vois clairement que ce que j’ai pris pour de vaines peintures est la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuent, scintillent d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvrent et se ferment comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entends rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne.

    Une terreur insurmontable s’empare de moi, mes cheveux se hérissent sur mon front, mes dents s’entre-choquent à se briser, une sueur froide inonde tout mon corps.

    La pendule sonne onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il s'éteignit tout à fait…

    Oh ! non, je n’ose pas dire ce qui arrive, personne ne me croirait et l’on me prendrait pour un fou.

    Les bougies s’allument toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprime le mouvement, se prend à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnent dans les tisons et que la pelle relève les cendres.

    Ensuite une cafetière se jette en bas d’une table où elle est posée, et se dirige, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se place entre les tisons.

  • le feu prend,   une lueur blafarde illumine,  je vois,  j'ai pris,  est la réalité,

    les prunelles de ces êtres remuent, scintillent,   leurs lèvres s'ouvrent et se ferment,   je n'entends rien,  une terreur s'empare,  mes cheveux se hérissent,

    mes dents s'entrechoquent,  une sueur inonde,  la pendule sonne,  lorsqu'il

    est éteint,  ce qui arrive,  les bougies s'allument,  lui imprime,  se prend à

    souffler,   les pincettes fourgonnent,  la pelle relève,  une cafetière se jette,

    elle est posée,  se dirige,  elle se place

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